« J’avoue me sentir assez décalée dans la société, telle qu’elle m’apparaît.
Ce qui me sauve, régulièrement, quel que soit sa forme, c’est l’art, qui me redonne du courage, m’ouvre des perspectives infinies où tout redevient possible.
Journal d’Helen me galvanise, de joie, de surprise, d’ébahissement. Le texte a sur moi l’effet d’un geyser puissant, stupéfiant, qui me redonne vie, énergie, rage, désir.
Et l’envie de le propulser, pour qu’il diffuse sa joie et sa liberté au monde ; qu’il l’irradie. »